Alors que l’équipe nationale française poursuit son impressionnant parcours à l’Euro 2024, l’attaquant Ousmane Dembélé a profité de l’occasion pour répondre aux critiques persistantes concernant le style de jeu et les performances de l’équipe. Après la victoire acharnée de la France en quart de finale, Dembélé s’est adressé aux journalistes en toute franchise, offrant un aperçu de la mentalité de l’équipe et de sa détermination à réussir. « Écoutez, nous savons qu’il y aura toujours des gens qui ne seront pas contents de la façon dont nous jouons », a commencé Dembélé, son ton étant un mélange de compréhension et d’indifférence. « Mais au final, nous sommes en demi-finale d’un tournoi majeur. C’est ce qui compte le plus pour nous. » L’attaquant de 26 ans, qui a été un contributeur clé tout au long de la campagne française, a insisté sur le fait que les critiques les plus sévères de l’équipe n’étaient pas une priorité pour les joueurs.
« Ceux qui ne sont pas satisfaits – ce n’est tout simplement pas notre problème », a déclaré Dembélé avec fermeté. « Nous ne sommes pas là pour essayer de plaire à tout le monde ou de jouer d’une certaine manière juste pour apaiser les critiques. Notre travail consiste à gagner des matchs de football et à représenter notre pays du mieux que nous pouvons. Si cela signifie que nous devons parfois obtenir des résultats ou jouer de manière pragmatique, qu’il en soit ainsi. » Les commentaires de Dembélé font écho aux sentiments exprimés par le sélectionneur Didier Deschamps à l’approche du tournoi. Deschamps, l’architecte du triomphe de la France en Coupe du monde il y a quatre ans, avait exprimé la volonté de son équipe d’adapter son approche en fonction de l’adversaire et des exigences de la situation de chaque match.
« Nous n’allons pas changer notre ADN ou nos principes de base de jeu », avait déclaré Deschamps. « Mais nous reconnaissons également qu’il faut parfois être flexible et faire des ajustements tactiques pour se donner les meilleures chances de gagner. Au bout du compte, c’est ce que les fans veulent voir : leur équipe en compétition pour des trophées. » Pour Dembélé et ses coéquipiers, cet état d’esprit pragmatique leur a été utile tout au long de l’Euro. Après avoir traversé une phase de poules compliquée, ils ont produit une série de performances résilientes et bien organisées pour atteindre les demi-finales, obtenant souvent des résultats contre des adversaires plus appréciés.
« Écoutez, nous savons que notre style de jeu n’est pas toujours le plus excitant ou le plus expansif », a reconnu Dembélé. « Mais nous avons montré que nous pouvons gagner de différentes manières et nous adapter aux exigences de chaque match. Parfois, cela signifie être un peu plus prudent ou cynique, mais si cela fonctionne, c’est ce qui compte. » L’ailier a cité la victoire de la France en quart de finale, une rencontre serrée et prudente décidée par un seul but, comme un exemple de leur capacité à obtenir des résultats lorsque cela était nécessaire. « Ce n’était pas le plus beau match, mais nous avons fait le travail. C’est ça, un championnat : trouver un moyen de gagner, quelles que soient les circonstances. »
Le très attendu quart de finale entre le Portugal et la France lors du Championnat d’Europe 2024 a eu lieu le 5 juin au Volksparkstadion de Hambourg, en Allemagne. Le match, arbitré par l’arbitre anglais Michael Oliver et son équipe, a été une affaire très disputée qui a mis en valeur la perspicacité tactique et la résilience défensive des deux équipes. Lorsque les deux puissances internationales sont entrées sur le terrain, l’atmosphère électrique dans le stade était palpable. Les supporters des deux nations s’étaient déplacés en masse, créant une atmosphère de chaudron qui n’a fait qu’ajouter au drame et à l’intensité de l’événement. Les tribunes étaient une mer de rouge, de blanc et de bleu d’un côté, contrastant avec le vert, le rouge et l’or vibrants de l’autre, tandis que les supporters de chaque équipe scandaient et chantaient avec passion, désireux de mener leurs héros à la victoire.
Dès le coup de sifflet d’ouverture, il était clair qu’il ne s’agirait pas d’un quart de finale ordinaire. Les deux équipes, emmenées par les légendaires entraîneurs Fernando Santos et Didier Deschamps, se sont livrées à un jeu d’échecs tactique, chacune déterminée à imposer son style de jeu et à prendre le dessus. Les Français, connus pour leur approche pragmatique et organisée, ont pris l’initiative dès le début, pressant haut sur le terrain et cherchant à exploiter les espaces derrière la défense portugaise. Ousmane Dembélé, l’ailier emblématique, était au cœur de leurs incursions offensives, combinant habilement avec l’attaquant Karim Benzema pour créer une série d’ouvertures prometteuses. Le duo dynamique a constamment sondé la ligne arrière portugaise, testant les réflexes du gardien vétéran Rui Patricio et forçant les défenseurs de la Seleçao à être au sommet de leur concentration.
Cependant, la ligne arrière portugaise, dirigée par l’expérimenté Pepe et l’imposant Ruben Dias, a tenu bon, contrecarrant les avancées françaises par un mélange de positionnement solide, de défis de dernière minute et de marquage discipliné. Les deux défenseurs centraux, qui avaient formé un duo infaillible au fil des années, ont été inspirés, neutralisant la menace de Benzema et coupant les lignes de ravitaillement de Dembélé grâce à une démonstration d’excellence défensive sans compromis. La menace en contre-attaque de la Seleçao, menée par le vif Bernardo Silva et le rapide João Felix, a également tenu la défense française en haleine, assurant une bataille tactique captivante tout au long des premiers échanges. Les moteurs du milieu de terrain des deux équipes, avec des joueurs comme Adrien Rabiot et Danilo Pereira engagés dans un duel physique et stratégique, ont donné le tempo du match et dicté le flux de possession.
Au fur et à mesure que le match avançait, la tension a continué de monter, les deux équipes refusant de cligner des yeux et d’engager trop de joueurs vers l’avant, conscientes de la nécessité de maintenir l’intégrité défensive. Les occasions étaient rares, les gardiens, Rui Patricio pour le Portugal et Hugo Lloris pour la France, étant rarement appelés à l’action au-delà des arrêts de routine.
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